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Visitez la Maison des Vins Charentais à Cognac
La Maison des Vins Charentais est ouverte au centre de Cognac
Informations pratiques :
Maison des Vins Charentais :
26, avenue de Lattre-de-Tassigny,
16100 Cognac
Parking gratuit à proximité :
23, rue du Port-Brémond
site internet Maison des Vins Charentais
Cognac, histoire et notoriété mondiale
La visite d’une grande Maison de Cognac est souvent la première motivation pour aller passer une journée à Cognac quand on séjourne sur le littoral de Charente-Maritime. C’est évidemment une très bonne raison mais il y en a beaucoup d'autres.
Nous vous proposons de découvrir toutes les richesses de la ville de Cognac et des communes environnantes, richesses dont nous avons pu suivre et vivre la mise en valeur au cours des récentes décennies.
Cognac, c’est aujourd’hui une ville dynamique, où on a plaisir à flâner dans les rues, les places, les parcs, sur les bords de la Charente
La ville de Cognac est plus proche du littoral qu’on le pense souvent.
Cognac est situé en moyenne à une heure de route du littoral charentais :
70 km de Royan (1 heure)
75 km de Rochefort (1 heure)
110 km de La Rochelle (1 heure 15 mn)
30 km de Saintes (1/2 heure)
Espace Découverte en Pays du Cognac
Pour profiter au mieux de votre passage ou de votre séjour à Cognac, nous vous recommandons de faire une visite à l'Espace Découverte en Pays du Cognac, situé Place de la Salle Verte, proche du quai et du port de plaisance.
En remontant vers le centre ville, sur la gauche, on rejoint la Place de la Salle Verte où se trouvent ‘’L'Espace Découverte en Pays du Cognac’’,t le ‘’Musée des Arts du Cognac’’ et le Café du Musée.
Le stationnement est facile sur les emplacements le long du quai ou sur des parkings proches.
Aménagé dans une ancienne maison de négoce, L'Espace Découverte en Pays du Cognac propose une illustration de toutes les richesses du pays du cognac, les paysages charentais, l’histoire du fleuve Charente,...
" Ce centre d’interprétation est un lieu de découverte sur le patrimoine du pays du cognac. Point de départ incontournable d’un séjour ou d’une visite à Cognac, il vous propose de découvrir l’histoire du fleuve Charente, la faune et la flore, l’Art roman, le roi François 1er, à travers diverses scénographies mais aussi une suggestion d’itinéraires et de balades à faire dans la campagne charentaise."
L'entrée est gratuite et vous y trouverez accueil convivial, documentation et compétence sur vos centres d'intérêt.
visiter le site Espace Découverte en Pays du Cognac
Cognac, Espace Découverte en Pays du Cognac
Le Musée des Arts du Cognac
Le ‘’Musée des Arts du Cognac’’, voisin de l’Espace Découverte, nous invite à ‘’découvrir la grande aventure humaine, industrielle et commerciale du plus noble des spiritueux’’ avec le support de films, ambiances sonores, jeux olfactifs et expérimentations interactives.
Musée des Arts du Cognac, entrée sur la place Verte
Musée des Arts du Cognac, faire connaissance avec les cépages, image d'avril
Musée des Arts du Cognac, accueil
On peut passer directement de l'Espace Découverte à l'espace Accueil du musée des Arts du Cognac, sans resortir du bâtiment.
toutes les informations sur le site des Musées de Cognac
Profitez de votre passage à l'Espace Découverte en Pays du Cognac pour visiter le remarquable Musée des Arts du Cognac ou revenez plus tard. Une visite qui s'impose pour bien comprendre ce qui fait la notoriété de Cognac aujourd'hui.
Le centre ville de Cognac
Tous les centres d’intérêt, y compris des maisons de Cognac avec leurs circuits de visites, sont dans un périmètre à découvrir à pied.
Cognac, "Toutes directions"
Les parkings en centre ville sont bien pratiques. Il y a en particulier le parking de la place Jean Monnet.
C’est le moment de se souvenir de ce grand homme, économiste et un des ‘’Pères’’ de l’Europe.
Jean Monnet est né en 1888 à Cognac dans une famille de négociants en cognac. Jean Monnet s’est éteint en 1979 dans sa maison d’Houjarray dans les Yvelines à l’âge de 91 ans. Ses cendres reposent au Panthéon.
Cognac, la place François 1er
Le centre ville avec ses rues piétonnes est très animé. La place François 1er est le point de repère d’où l’on peut organiser sa visite.
La place François 1er, avec ses terrasses, cafés, restaurants, commerces, est en effet au cœur de la ville. C’est un endroit bien agréable pour une pause rafraîchissement ou restauration.
Cognac, place François 1er.
Cognac, statue équestre de François 1er.
De la place François 1er au Pont Neuf sur la Charente
De la place François 1er, le boulevard Denfert-Rochereau descend vers la Charente. Après le croisement avec la rue de la République, on découvre sur la gauche le Marché couvert et sur la droite le Musée d’Art et d’Histoire.
Le marché couvert est une belle construction du style des halles Baltard du 19ème siècle.
Très bien restauré, c’est sans doute le plus beau marché couvert de la région, autant par le bâtiment que par les produits proposés et l’animation pendant les heures d’ouverture.
Cognac, le marché couvert
Le Musée d’Art et d’Histoire de Cognac
Le Musée d’Art et d’Histoire est situé depuis 1925 dans l’ancien Hôtel Dupuy d’Angeac.
Cognac, le musée d'Art et d'Histoire
toutes les informations sur le site des Musées de Cognac
Puis en continuant la descente du boulevard Denfert-Rochereau, toujours sur la droite, on arrive à l’Hôtel de Ville et ses magnifiques jardins.
Le jardin public de l’Hôtel de Ville de Cognac
Le magnifique parc de 7 hectares de l'Hôtel de Ville est le résultat de l’achat par la ville de Cognac de deux propriétés.
L’Hôtel Otard de La Grange a été acheté en 1889 pour y installer l’Hôtel de Ville. Jusqu’en 1892, l’Hôtel de Ville était situé au Couvent des Récollets. L’Hôtel Dupuy d’Angeac a été acquis en 1921 pour en faire le Musée d’Art et d’Histoire.
Le jardin public de l'Hôtel de Ville mérite une visite pour son style caractéristique.
Cognac, entrée du parc de l'Hôtel de Ville
Cognac, le parc de l'Hôtel de Ville
Cognac, l'Hôtel de Ville
C'est aussi un lieu de calme, de fraîcheur, bien apprécié par les chaudes journées d'été.
Une intéressante notice de présentation de ce jardin nous apprend qu'on le doit à un célèbre architecte paysagiste, Edouard André (1840-1911):
"Célèbre architecte paysagiste parisien, il se spécialise dans les jardins anglais du 19ème siècle, et notamment les jardins creux (avec des grottes constituées de fouillis végétal, imitation de cascades naturelles, pont en mortier moulé ou béton-ciment, imitant des troncs d'arbres pour recréer l'ambiance des sous-bois...), les escaliers rustiques avec des marches signalées par des rondins en mortier imitant une branche d'arbre couchée...
Ailleurs en
France, il a réalisé les Buttes Chaumont..., des jardins dans d'autres villes hors de l'hexagone, ce qui lui a donné une dimension mondiale."
Le Château de Cognac
Après les jardins de l’Hôtel de Ville, toujours en descendant le boulevard Denfert-Rochereau, on découvre sur la gauche le Château de Cognac.
Le Château a vu naître François 1er en 1494 et accueille en ses murs les Cognacs Otard depuis plus de 200 ans.
Le château de Cognac, cognacs OTARD
La cour d'entrée du château de Cognac
Au cours de la promenade dans Cognac, on peut être désagréablement surpris par les façades noircies. Elles sont noircies par les champignons microscopiques engendrées par les vapeurs d’alcool.
On remarque en particulier ce phénomène sur les bâtiments situés à proximité de chais.
Cognac, le Château vu du Pont Neuf
La Charente et le Pont Neuf
En bas du boulevard Denfert-Rochereau, l’horizon s’élargit sur la Charente. En avançant sur le Pont Neuf, on a une belle perspective sur les quais de la rive gauche, quais Hennessy, quai des Flamands, quai de la Salle Verte.
Cognac, la Charente et le Pont Neuf
Cognac, vue sur la rive droite de la Charente
Cognac, vues sur la Charente en amont du Pont Neuf
Cognac, vue sur le château et le quai Hennessy
Le quai Maurice Hennessy
Hennessy - Les Visites
La vieille ville de Cognac
La vieille ville de Cognac, appelée le ‘’Vieux Cognac’’, s’étend des "Tours Saint-Jacques", construites au bord de la Charente, à l’église Saint-Léger.
Cognac, la ville où est né François 1er.
Les historiens nous apprennent que le 12 septembre 1494, vers 22 heures naît au château, François de Valois-Angoulême, lequel par le jeu des successions devint le Roi François 1er en 1515. Une plaque apposée sur un mur du château, près de l'entrée de l'accueil de la maison Otard, nous le rappelle.
François 1er fut un roi qui fit la guerre. Tout le monde se souvient de Marignan 1515, mais on sait moins que 1515 était la première année de son règne. L' adversaire qu'il combattit durant son long règne, est également célèbre, c'est Charles Quint.
François 1er est aussi resté dans l'histoire comme le roi de la Renaissance française. La plaque nous le rappelle" Protecteur des Arts, des Sciences et des Lettres.
Les tours Saint-Jacques
Au Moyen-Âge, la ville était entourée de remparts. Quand on regarde un plan du Cognac d'aujourd'hui, on imagine bien le triangle de l'enceinte correspondant a la place François 1er, le boulevard Denfert-Rochereau, les quais, la rue du Port, les allées de la Corderie.
Les tours Saint-Jacques, 15ème siècle, sont les vestiges de l'ancienne porte de ville en tête d'un pont qui a disparu.
Cognac, les tours Saint-Jacques
La porte Saint-Jacques donne accès à partir du quai, à la Rue Grande.
Un premier axe du Vieux Cognac est constitué par la Rue Grande qui part des Tours Saint-Jacques, perpendiculairement à la Charente, et qui se prolonge par la rue d'Angoulême pour rejoindre la place François 1er.
Un second axe, sensiblement parallèle à la Charente est la rue Aristide Briand qui va de la place Martell au boulevard Denfert-Rochereau.
Le parvis de l'église Saint-Léger donne sur la rue Aristide Briand.
Cognac, Rue Grande à partir de la porte Saint-Jacques.
Cognac, Rue Grande, le château et la fontaine François 1er
Cognac, port saulnier, port gabarier
Les noms des rues du Vieux Cognac font souvent référence aux activités traditionnelles.
Par exemple, la rue Saulnier nous rappelle que Cognac fut du Moyen-Âge au 17ème siècle, une place de négoce du sel.
Au 17ème siècle, le négoce des eaux de vie se substitua à celui du sel.
Cognac, rue Saulnier
Le commerce du vin se développa avec l'Angleterre et la Hollande. Le problème était que le vin voyageait mal. Les marchands décidèrent alors de le "brûler", c'est à dire de le distiller.
Un intéressant panneau installé devant l'Espace découverte, nous résume l'histoire du commerce du sel et des eaux de vie:
"Cognac a, depuis des siècles, été un port fluvial de première importance, partageant ce rôle économique avec Rochefort, Saintes et Angoulême.
Dès le 11ème siècle, Cognac est un port saulnier débordant d’activité, où les mariniers disposaient d’un four pour faire cuire la poix nécessaire à l’entretien de leur bateau.
Le sel, destiné aux populations de Saintonge, de l’Angoumois et du Limousin, était alors la principale marchandise transportée sur le fleuve, et il en sera ainsi pendant fort longtemps.
La région de Cognac, déjà riche de vignes, exportait beaucoup de vin en direction de l’Angleterre et les gabares s’en allèrent chargées de tonneaux jusqu’au 17ème siècle. Le cognac acquit alors une renommée mondiale, et occupa au 19ème siècle et au début du 20ème l’essentiel de l’activité du port cognaçais."
Cognac, la rue d'Angoulême, le couvent des Récollets
La rue d'Angoulême est une rue piétonne très animée qui part de la place François 1er et qui permet d'aller directement à la place d'Armes devant le marché couvert et à l'église Saint-Léger.
Cognac, rue d'Angoulême
Sur la gauche en venant de la place François 1er, se trouve le couvent des Récollets. Ce couvent fut fondé au au 17ème siècle, à la période de la Contre Réforme, pour recevoir les moines Récollets.
Remarquablement restauré, ce bâtiment situé rue d’Angoulême, abrite des salles d’exposition et de conférences. Il ne faut pas hésiter à entrer pour admirer la belle salle voûtée d’ogives.
Cognac, le couvent des Récollets
Un arrêt sur la place d'Armes, nous permet de visiter le marché couvert d'un côté et le clocher de l'église Saint-Léger de l'autre. Le marché couvert est un témoin remarquable de ces marchés couverts trop souvent disparus.
Cognac, l'église Saint-Léger
Bien que l'on ait assez peu de recul pour bien apprécier l'harmonie de la façade romane, le regard est tout de suite attiré par la rosace flamboyante percée au dessus du porche roman ornée de sculptures représentant les signes du zodiac.
Cognac, l'église Saint-Léger, la rosace
Cognac, l'église Saint-Léger, le porche roman
Cognac, l'église Saint-Léger et son clocher vus de la place d'Armes.
Cognac, le clocher de l'église Saint-Léger
Un panneau explicatif nous retrace l'histoire de l'église Saint-Léger de Cognac:
"Début du 11ème siècle, fut fondé ici un prieuré bénédictin, dépendant de l’Abbaye d’Ebreuil en Bourbonnais, dont Saint Léger était le patron ‘’Apôtre muet’’ du temps de Childéric, 7ème siècle, selon la ‘’Légende dorée’’.
A cette époque, les bénédictins firent construire une modeste église prieurale ainsi que des bâtiments conventuels.
Vers 1130, et pendant 100 ans, le nouvel édifice, de style roman, fut bâti. On lui apporta ensuite des transformations gothiques, intérieures et extérieures, dont la rosace de façade percée au 15ème siècle pour éclairer la nef.
Au 14ème siècle, les coupoles romanes furent remplacées par des voûtes d’ogives et le chevet reconstruit. Quant au clocher, les 12ème, 13ème et 14ème siècles le signèrent.
Les sculptures du chœur, la chaire et les grandes orgues furent au 19ème siècle les derniers embellissements de cette église.
Le "zodiaque" du portail est l’un des ensembles sculpturaux les plus significatifs du patrimoine cognaçais."
La Charente à Cognac
Le fleuve Charente, "le plus beau ruisseau du royaume", selon l'expression de Henri IV, et une riche contribution au développement de la ville de Cognac au cours des siècles.
La Charente est la première image que l’on a de Cognac quand on arrive par la route venant du littoral charentais par Saintes.
Le centre ville de Cognac et le Vieux Cognac sont en effet situés sur la rive gauche de la Charente et on franchit le Pont Neuf pour pénétrer dans Cognac.
La Charente est un fleuve d’une longueur de 360 km qui prend sa source dans le Limousin et qui traverse les départements de la Vienne, de la Charente et de la Charente-Maritime.
La Charente a toujours été un acteur important de la vie de Cognac. Hier c’était le transport de marchandises, aujourd’hui c’est le tourisme et la plaisance.
Petite histoire de la batellerie
La promenade dans Cognac nous offre l'occasion de nous familiariser avec une activité qui a marqué la région grâce à un panneau d'information placé devant l'Espace découverte:
‘’Le fleuve Charente connût très tôt une activité commerciale, probablement dès l’époque romaine. Le 11ème siècle voit déjà un trafic de marchandises important, basé essentiellement sur le commerce du sel et plus tard du vin.
La Charente était en effet le seul trait d’union entre Angoulême et la mer, et les nombreuses cités riveraines tiraient du commerce fluvial d’importants revenus.
L’an 1666 marque le début des grands chantiers navals de Rochefort qui doivent donner à la France une flotte capable de rivaliser avec les marines anglaise ou hollandaise.
L’approvisionnement de ces chantiers par les gabarres est capital et la batellerie connaît un essor considérable.
Par le fleuve circule alors bois, fer, fonte, lin, chanvre, vivres en quantités inimaginables. Un vaisseau emportant 600 hommes demandait 3 000 chênes du Limousin, 500 tonnes de fonte et de fer issus des fonderies de l’Angoumois, 50 tonnes de chanvre pour les cordages et autant de lin pour les voiles, 200 tonnes de vivres pour 6 mois de mer…
On compte annuellement 300 à 400 passages de gabares sous les ponts de Cognac, une gabarre effectuant bon an mal an 10 à 12 voyages. En 1776, la corporation des gabariers compte 400 membres. Le bassin de la Charente connaît alors une prospérité exceptionnelle.
Le transport du vin a pratiquement cessé, au profit d’autres régions vinicoles, mais le commerce des eaux de vie de Cognac et Jarnac est florissant.
Les gabares demeurent toujours essentiellement chargées de sel à la remontée.
Cognac est, avec Jarnac et Angoulême, un très grand port saulnier. Dans les années 1770 et 1780, la Charente se dote des écluses à sas que nous connaissons aujourd’hui.
La Charente est officiellement classée voie navigable en 1836, jusqu’à Montignac. Mais les gabares traditionnelles vont être bientôt remplacées par des bateaux de fer à vapeur. L’avènement de ces nouveaux bateaux, la concurrence du chemin de fer, la première guerre mondiale et le déclin du port de Rochefort précipitent la batellerie charentaise vers le marasme.
En 1926, la Charente en amont de Cognac est déclassée des voies navigables. Ce sera le tour de Cognac à la mer en 1957, victime cette fois de la concurrence de la route. Après des siècles d’utilisation commerciale et après avoir tant fait pour le développement de la province, le fleuve s’endort dans une torpeur nostalgique.
Des gabares, il ne reste rien. Démontées les unes après les autres pour des destins peu glorieux. Ce patrimoine renaît pourtant, refusant de disparaître. Quelques gabares ont été reconstruites, qui font découvrir aux promeneurs le fil de l’eau’’.
La Charente, les gabarres
Les gabarres font vraiment partie de l'histoire de la vie à Cognac. Avec le transport des barriques vers la mer, à partir du 17ème, la Charente et les gabarres ont largement contribué à la renommée mondiale du vignoble de Cognac.
Un panneau d'information également disposé devant l'Espace découverte met en avant la gabarre, ou gabare, ce type de bateau à fond plat utilisé sur les fleuves et rivières de la région.
‘’Les gabares furent , aux premiers temps du commerce du sel, de petites embarcations légères servant au transport de marchandises sur le fleuve Charente. Leur forme et leur taille évoluèrent au fil du temps, selon les possibilités de navigation sur un fleuve de plus en plus aménagé et selon les nécessités commerciales. Tout au long des dix siècles qui nous précèdent, ces bateaux ont largement contribué à l’essor économique, démographique et culturel de notre région.’’
Le port de plaisance et le tourisme fluvial
La Charente est navigable d'Angoulême à la mer. Les écluses dans la région de Cognac sont manuelles et doivent être manoeuvrées par les plaisanciers.
Des locations de bateaux sans permis, pour 2 à 10 personnes sont proposées pour différentes durées, semaine, week-end,...
Le port de plaisance de Cognac offre tous les services recherchés par les plaisanciers.
Cognac,le port de plaisance
Cognac, vue sur la quai depuis l'esplanade du port de plaisance
Cognac, le port et la location de bateaux
toutes les informations sur le site Les Canalous
Escapade à Jarnac - Charente
L’histoire de la ville de Jarnac est indissociable du fleuve Charente. Comme pour sa voisine Cognac, la Charente et les gabarres ont largement contribué au développement de la ville avec le commerce du sel, du vin, des eaux-de-vie...
visitez Jarnac